Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (74)

Nous tournons des scènes pour mon film quand la foule vient s’en mêler prenant même parti contre celle qui pour eux a mis sur le marché un produit dangereux pour la population.

Johnny ressort et repart pour nous rejoindre par les rochers.

• J’espère qu’avec la camionnette ils vont s’en sortir et revenir rapidement car des motos l’on suivit.

Johnny nous rejoint.

• Ouf ! Ça va s’arranger, ils se calment en bas.
Vous avez vu, ils auraient pu lyncher le pseudo coupable, les foules dans notre travail c’est ce qui l’y a de plus dur à gérer on ignore chaque fois comment cela va se terminer.
• Regarde, Johnny la moitié des gens sont partis.
• À qui as-tu téléphoné ?
• J’ai eu Aurélie dans la camionnette et je leur lui ai demandé d’arrêter la sirène pour éviter d’alerter les vrais policiers de la ville.
• Ils vont rouler jusqu’à ce que les motos décrochent.
Attendez, je les rappelle.
• Ou en êtes-vous ?

Johnny écoute et un sourire pointe sur son visage.

• Continuez, remontez vers la campagne à l’extérieur de Saint-Palais, elle va décrocher, sinon jetez-lui des légumes comme Louis de Funès et Bourvil dans la grande vadrouille.

Nouveau blanc.

• Mais oui je plaisante, jettent des projecteurs.

Encore un blanc.

• Ils sont trop lourds pour toi Aurélie, tu plaisantes, évite de perdre le matériel, je plaisantais.
Je te rappelle dans cinq minutes.

Dehors trois ou quatre personnes discutent encore.
J’aperçois nos copains qui sont devant la porte d’entrée de la villa.
Le téléphone de Johnny sonne.
Il écoute.

• Super, Christine, la camionnette est redevenue anonyme, ils vont pouvoir revenir vers nous.
Ici c’est calme revenez et rentré directement chez Jacky, le portail est ouvert.
Vous vous parquez à l’arrière de la maison, la rue est vide, on est tranquille de ce côté-là.



Nous redescendons dans la salle, Anne est sur la terrasse avec sa fille.

• J’ai eu peur, j’ai cru qu’ils allaient entrer tellement ils criaient leur fureur, j’ai eu peur pour ma fille.
• Audrey nous allons tenter quelque chose, tu vas sortir avec Anne et Sindy, tu vas remonter la rue vers la corniche.
Nous restons en contact téléphonique toutes les deux.
Si quelqu’un vous suit, je te préviens.
Christine ta mini est bien en bout de file de nos voitures.
• Oui tu as raison je donne mes clefs à Audrey, vous prenez la mini, vous faites le tour et revenez devant et vous aussi entré dans la cour de chez Jacky.

Les filles exécutent la manœuvre.
Rien ne se passe, je ferme la porte de la terrasse.
Nous sortons, je ferme le portail de chez moi et nous prenons le risque de traverser sans courir, nous nous retrouvons en face à l’abri des regards.
La camionnette arrive suivie de la mini.
Gagné tout le monde est rentré au bercail.

Dans la maison, j’arrive dans la cuisine où je me fige.
C’est dans cette cuisine que mon père a sodomisé la maman de Jacky.
C’est dans cette cuisine que devant moi, toute ma jeunesse stricte remonte en moi.
C’est dans cette cuisine que toute l’ambiguïté du début de ma vie s’est jouée entraînant mon mariage avec petite bite.
Oui mais où est la table ?

Nous sortons sur l’arrière de la villa.
Ils sont tous là.

• Nous avons eu de la chance, évitons de recommencer ce genre d’erreur. La camionnette restera la jusqu'à demain, pas question avant notre départ de la faire sortir.
Alain, on laisse tomber le volley, plus aucun extérieur. Il nous reste une scène que nous allons tourner ici à l’extérieur devant cette porte
• Coco met les bracelets à Yann, les inspecteurs l’ont arrêté et l’emmènent vers le commissariat.

La scène courte à filmer est simple, Yann sort encadré des deux gendarmes.

Il est emmené jusqu'à l’angle de la maison. Lorsqu’ils disparaissent.

•Couper.
Bien, une dernière scène dans le bureau à l’intérieur de la maison.
Mettez les menottes à Christine comme vous l’avez fait à Aurélie pour sortir de la maison.

Nous passons sur le côté à l’inverse de Yann tous à l’heure.
Les gendarmes me font monter les marches.

• Couper.

Nous avançons dans le couloir et pénétrons dans une pièce.
Elle est principalement composée d’une table et de trois chaises.

• Tof, tu restes derrière la table et Jacky à ses côtés, Christine il te fera t’asseoir sur une chaise encadrée par les techniciens qui ont gardé leur tenue de gendarme.
Enlevez-lui les menottes et sortez.

Les gendarmes exécutent l’ordre et sortent.
Johnny et Audrey film sous des angles différents.
Tof se lève contourne la table, me fait asseoir sur la chaise et viens s’asseoir sur le rebord face à moi.

• Mademoiselle, nous avons un faisceau de suspicion sur les s des cinq hommes retrouvés sur la plage au pied de votre maison.
Nous avons la preuve qu’à la suite d’un viol qu’un rôdeur vous a fait subir, vous avez décidé de vous venger de tous les mâles en tuant tous vos amants les jours suivants avec l’aide de vos copines.
Je vous propose une solution à notre problème, soit vous vous occupez de nous et nous ferons remonter au juge que votre violeur ayant en plus commis plusieurs cambriolages dans les villas voisines et qu’il est l’assassin.
Soit vous refusez et vous risquez dix ans de prison au minimum avec les remises de peines.

Je me lève, je m’agenouille sort la bite de l’inspecteur national et la prends en bouche.
Je la suce du mieux que je peux pour m’éviter la prison.

• Et mon ami l’inspecteur régional, tu t’en occupe.

Je tourne la tête, Jacky est là sa queue à la main.
Je lui fais subir le même sort qu’à celle de Tof.

Tof s’assoit sur la chaise relève ma jupe, il me fait avancer à hauteur de son membre viril.
Je m’assieds littéralement dessus.
Ce doit être la première fois que le garçon me pénètre assis sur une chaise, la dernière fois que je l’ai fait c’est à Bayonne avec Juan le jeune torero que j’ai dépucelé. La sensation est la même, la bite de mon hardeur préféré est bien entrée au fond de mon vagin.
Je suis maîtresse de la situation.
Tout inspecteur qu’il soit il est homme et je sais que le traitement que je lui fais subir est synonyme de liberté pour moi du moins dans le film.
Ce salaud de rôdeur va plonger à ma place pour dix ans au moins.
Il aurait dû éviter de venir sur ma terrasse et me faire sucer sa bite.
Son comportement m’a obligé à avoir une mauvaise réaction qui m’a amené à mes amants pour me venger.

• Si tu me libères, alors vas-y mets moi profondément ton sexe dans ma fente. Et en plus tu me fais jouir.

Tof tout en me limant donne un ordre à l’inspecteur régional.

• Allonge-toi sur la table.

Jacky a un mouvement de recul.
Les mots de Claude et Willy me reviennent en mémoire.

« Nous avons installé un bureau dans la villa de Jacky »

Comment donner l’impression de bureau lorsque la maison en est dépourvu ?
Une table une chaise, une table, laquelle, celle de la cuisine bien sûr.
Je comprends le mouvement de recul de Jacky, se coucher sur la table ou sa mère s’est fait enculer par mon père ce qui a entraîné sa mort peut être traumatisant.
Je quitte le sexe de Tof et m’approche de lui, le prend dans mes bras pour le cajoler.
Ma bouche est à la hauteur de son oreille, je lui parle doucement pour que lui seul comprenne.

• J’ai compris pour la table si nous baisons dessus nous bouclerons définitivement l’histoire de nos parents.
Et tu sais cette scène je vais la faire durer mais si Johnny dit coupé pour que nos corps et nos cerveaux soient lavés du passé que mon père a déclenché en baisant ta mère sur cette maudite table.


Aucune réponse de sa part mais il se couche sur la table.
Avant de monter je l’embrasse tendrement.
Je m’approche de sa queue car ces souvenirs l’on fait baiser pavillon.
Rapidement je lui redonne de la vigueur.
Tof qui s’est approché m’aide à monter.
Je me place les jambes repliées de chaque côté de son corps.
Je descends ma vulve et je la fais entrer là où j’aime tant en recevoir depuis que j’ai suivi ma marraine dans ses débordements sexuels.
C’est fait il est en moi, son visage est à hauteur du mien.
Pour être acquitté, je vais même jusqu'à lui prendre la bouche goulûment, je sais que sur les images j’aurais l’air d’une pute prête à tout donnée pour recouvrer ma liberté, pute que je suis réellement devenu au fil des mois.
Sa langue accepte la mienne, le plaisir monte dans mon ventre, je vois Tof sportivement monter sur le bureau.
Une fois de plus, il est dans mon dos.
Combien de fois depuis qu’il me baise m’a-t-il pris de face ?
Je le sens approcher et frotter son sexe sur ma rondelle. Je sens qu’il passe sa main sur mon petit trou, il a dû me mettre un peu de salive je sens que quelque chose coule, il me pointe et but, il est en moi.
Si cette baise à trois avec cette double pénétration m’envoie en prison je les tue.
Mais pour le moment c’est moi qui meurs, de plaisir.
Je meurs du pilonnage de ces deux bites dans mes deux orifices.
Je meurs de la lame de fond qui monte de mes entrailles.
Je meurs simplement du plaisir que me procurent ces deux hommes l’un Tof le hardeur ressent amour de ma vie après avoir visionné une casette de ses exploits et Jacky mon amour de jeunesse que je confierais sans aucun problème à notre copine Aurélie pour qu’ils vivent un amour aussi profond que j’aime ma liberté en retrouvant rapidement mes clients.
Quand mon corps est rassasié et que ces deux hommes ont fait monter en moi un orgasme venu du fond de leurs verges, les deux hommes me quittent saute de la table m’aide à descendre et me fait agenouiller pour qu’ils se déversent dans ma bouche.
Je sens que Jacky a coupé le cordon avec nos parents, il m’envoie deux fois plus de sperme.

• Couper.

Sympa Johnny il a attendu que je jouisse avant de donner le signal de fin.
Nous nous rhabillons et Johnny nous fait reprendre nos places comme au début de la séquence.

• Bien mademoiselle mon collègue et moi sommes des hommes de parole, nous vous libérons.
Gendarme !

Ils entrent.

• Raccompagnée mademoiselle, elle est libre.
Elle vient de nous donner la preuve qu’elle a des alibis pour les jours des crimes.
Amenez-nous le suspect principal.

Je sors, dans le couloir je croise Yann a qui ont a remis ses menottes.
Je m’approche.

• Tu vois salopard de violeur, je suis libre, tu vas en prendre pour dix ans à ma place.
Ne crains rien, tous les mois je viendrais te voir.
Je m’arrangerais pour qu’au parloir tu puisses voir ma chatte, mes seins sans jamais les toucher.
Si une seule fois tu refuses notre rendez-vous, le jour de ta sortie je te tue. Dans cinq ou six ans respect notre contrat et je serais à toi dans l’hôtel le plus proche ou j’aurais réservé une chambre.

Je m’éloigne.

• Au mois prochain !
• Couper !

Audrey était là pour filmer cette scène.
Clape de fin sur le tournage de mon film offert en cadeau.
Quoi que ?...

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